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À l’Halloween, les bonbons font partie de la fête! Mais en tant que parent, on se demande comment gérer la grande quantité de bonbons récoltés par nos enfants. Faut-il les cacher? Les limiter? Ou même en interdire? Nos 4 conseils répondront à ces questions et vous aideront à faire une saine gestion des bonbons à l’Halloween.
Tous les aliments peuvent faire partie de la fête! Au-delà des bonbons, d’autres aliments et recettes offrent l’occasion de célébrer et de créer des traditions familiales liées à l’Halloween. Cela vous permettra, d’une part, d’intégrer des aliments nutritifs, sans mettre de côté le contexte festif. D’autre part, en multipliant ainsi les plaisirs liés à l’Halloween, cette fête ne sera plus uniquement associée aux bonbons!
Quelques idées pour mettre (aussi) les aliments nutritifs au menu :
Le soir de l’Halloween, les enfants nagent dans les bonbons, et c’est normal qu’ils en mangent plus qu’à l’habitude en ce jour de fête! Mais dans les jours qui suivent, il devient tentant de les interdire à certains moments! Cependant, interdire un aliment le rend encore plus attrayant.
Il faut savoir que tous les aliments ont leur place dans une alimentation équilibrée. Oui, tous! Tout est question de fréquence de consommation, de quantité et de variété.
En valorisant une alimentation variée sans culpabilité, votre enfant apprendra à manger à sa faim et, surtout, avec plaisir!
Quand?
En raison de l’abondance de bonbons, la frénésie de l’Halloween s’étend souvent sur plusieurs jours. Toutefois, il est possible d’établir des règles, sans interdire les bonbons. Par exemple, établir que les bonbons peuvent être consommés à un repas seulement (ex. le souper) et inviter votre enfant à choisir quelques bonbons à manger. Les autres seront gardés pour un autre jour. N’ayez crainte, l’envie des bonbons diminue en général avec le temps! Après quelques jours, votre enfant n’y accordera sûrement plus autant d’intérêt et pourrait même en oublier l’existence!
Comment?
D’abord, présentez les bonbons comme un aliment plutôt que comme une « cochonnerie ». En effet, les aliments ne devraient pas être catégorisés comme étant « bons » ou « mauvais », ou qualifiés de « cochonneries » ou de « malbouffe ». C’est que cette façon de décrire les aliments peut être culpabilisante. De plus, ce qui est « mauvais » peut être « interdit », donc encore plus attrayant pour l’enfant. À l’inverse, qualifier les aliments de façon positive contribue à développer une relation saine avec l’alimentation.
Par exemple, dans les jours suivant l’Halloween, vous pourriez offrir des bonbons pour remplacer les desserts habituellement servis avec le repas. Au repas, vous pourriez en déposer quelques-uns au centre de la table. En présentant tous les aliments de la même façon, ils seront sur le même pied d’égalité.
Vous pouvez aussi cuisiner avec les bonbons d’Halloween. Vous rendrez ainsi la collation ou le dessert plus nutritif que si votre enfant avait seulement mangé des bonbons. Voici quelques idées :
L’Halloween n’est qu’une fête parmi tant d’autres où des aliments plus sucrés sont offerts. Pensez à Noël avec tous les desserts, à la Saint-Valentin avec les bonbons en cœur, sans oublier Pâques, la fête du chocolat par excellence! Nos conseils s’appliquent donc à toutes ces occasions. En bref, au lieu de gérer des interdits, il sera plus gagnant à long terme de faire vivre aux enfants des expériences plus positives avec les aliments!
